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Respecter ses limites

Connais-tu tes limites?

Ah, les fameuses limites ! Connais-tu les tiennes ? Est-ce que tu as tendance à les étirer comme un élastique jusqu’à ce que ça te pète dans la face ? À 38 ans, j’ai beaucoup de misère à discerner les miennes et encore plus à les respecter. Pour conserver une santé mentale décente et un niveau d’énergie suffisant, on doit être capable de dire stop et d’assumer ses décisions. Afin d’être en mesure de respecter ses limites, il faut les reconnaître. Quelles sont tes valeurs ? Qu’est-ce qui est important pour toi ? Est-ce qu’une situation/relation te cause un malaise ? Du stress ? Pourquoi ? Pour connaître les frontières de nos tolérances, c’est important de s’écouter. T’as le droit de dire non quand ça ne te tente pas. T’as le droit de refuser si t’es trop fatigué ou si t’as besoin d’un moment pour toi. C’est vrai que ça peut être dur et délicat de poser ses limites. On a peur de blesser l’autre, on ne veut pas qu’il se sente délaissé, on ne veut pas être rejeté ou on crain une réaction négative. Pourtant, c’est en imposant un cadre clair qu’on favorise de saines relations interpersonnelles.

Nos limites, on peut les revendiquer au travail, en amour, en amitié ou dans la vie de tous les jours. Sais-tu ce qui est poche ? C’est qu’on doit les communiquer, ces limites-là. Souvent, avec nos actes ou notre non verbal, nous espérons qu’elles seront d’offices vues, bien interprétées et satisfaites. Mais non, ou du moins rarement, malheureusement. On peut faire en sorte de les verbaliser de façon respectueuse en misant sur l’expression de son ressenti et de ses sentiments. Idéalement, il faut être précis, concis et en parler dès que tu te sens indisposé.ée . Attendre ne fait qu’empirer la situation de malaise dans laquelle on vit. Ça puise inutilement dans nos ressources et peut entraîner épuisement et stress. C’est bien beau vouloir se faire accepter et aimer par l’autre, mais please, pas au détriment de ton propre bien-être OK?

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